Bientôt cette phrase pourrait revêtir un sens bien plus profond qu’on ne l’a jamais imaginé : une entreprise de l’Eure (bien de chez nous donc) souhaite proposer à la vente l’odeur de personnes malheureusement disparues.
L’université du Havre est sur le coup, et aide Katia Apalategui dans ce projet qui parait complètement fou, et probablement assez dérangeant. L’idée est finalement toute simple : nous avons tous une odeur corporelle, et c’est cette odeur et ces molécules que l’entrepreneuse souhaite capturer, synthétiser, et mettre dans un flacon.
Ainsi, vous pourrez toujours dans les moments de nostalgie vous envoyez une petite giclée de « Jean-Pierre » ou de « Louise », ça vous rappellera le bon vieux temps.
Space.
On vit dans un drôle de monde.
Source : Sud Ouest