S’il est des parfums « frais comme des chairs d’enfants », celui qu’exhale le court roman de Pénélope Labruyère (éditrice de La Madolière) n’en fait pas partie. Il serait plutôt du genre « corrompu, riche et triomphant » ne se refusant ni un érotisme torride (qui flirte avec Éros ou Thanatos) ni des scènes sanglantes d’une cruauté précise. L’argument de départ puise aux grands …
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