Erratum sur l’AOC 42

logo_site_AOCPlusieurs erreurs et oublis se sont introduits au sein du numéro 42 d’AOC.

Ce numéro consacré aux nouvelles gagnantes du concours Visions du futur a été sorti un peu précipitamment.

Du coup, les illustrateurs crédités ne sont pas ceux qui ont réalisé les illustrations ! Rendons donc à César ce qui leur appartient et remercions:

  • Eric Malterre pour les illustrations de Pour quelques patates de plus et Pour une simple étincelle d’amour, http://emalterre.deviantart.com
  • Jubo pour Singularité(s), http://aquatick-zone.blogspot.fr/
  • et Aurélie Lecloux pour Orwell m’a tu, http://aurelielecloux.over-blog.com/

Encore toutes nos excuses.

De plus, nous avons oublié d’intégrer les présentations des auteurs dans la maquette. Nous présentons là encore nos excuses aux auteurs.

Les voici ci-dessous.

Bruno Pochesci, auteur d’Orwel m’a tu

Jeune homme franco-italien de deux fois vingt-trois ans, Bruno Pochesci vit l’écriture comme un agréable accident de parcours, puisqu’il se considère avant tout comme musicien. Aussi à l’aise dans le fantastique que dans la science-fiction, il publie en mai 2013 sa première nouvelle grâce à son ami, mentor et poulain (cinq CD produits, plus un sixième en route) Jean-Pierre Andrevon. Une trentaine d’autres suivront dans la foulée, et une dizaine de mieux sont d’ores et déjà programmées. Lauréat des prix Alain Le Bussy et Visions du futur en 2014, il récidive donc, le rouge au front, avec ce dernier. Son premier roman, Hammour, paraîtra chez Rivière Blanche en novembre 2016. Aussitôt bouclé, son successeur, Le prisonnier du parc de Choisy, se lancera en quête d’un éditeur qui ne mette pas la charrue numérique avant le papier bovidé. Pour le reste, il a une fille, une femme, un chat, un frère, des amis, plein de passions et de projets, un caractère peu enclin à la nostalgie, une santé qui semble tenir la route (touchons du ligneux) et des géniteurs toujours là (retouchons). Bref, un tableau qui s’apparente au bonheur, ou quelque chose d’avoisinant.

Éric Morlevat, auteur de Singularité(s)

Si vous demandez à Eric Morlevat d’expliquer son goût pour la SF, il évoquera sans doute un carton de vieux romans d’Asimov, Clarke ou Van Vogt, déniché au fond d’un placard durant son enfance. Il vous racontera comment il a découvert Douglas Adams par le biais des jeux vidéos, et parlera de sa préférence pour les auteurs anglais tels que Terry Pratchett, Neil Gaiman ou Charles Stross. Et, si vous n’avez pas de chance, il vous bassinera aussi avec sa passion coupable pour les premières saisons de Star Trek…
Diplômé de neuropsychologie et d’ergonomie des interfaces homme-machine, informaticien de longue date, il possède une solide expérience de toutes les manières dont les humains peuvent ne pas comprendre la technologie. La Singularité constituait donc pour lui, tant par les peurs qu’elle suscite que par le folklore qui s’y attache, un sujet à ne rater sous aucun prétexte.

Émilie Querbalec, auteur de Pour une simple étincelle d’amour

Née en 1971 au Japon. Après un passage convenu en prépa littéraire, elle étudie la photographie, les langues orientales et l’histoire de l’art, avant d’exercer divers métiers qui n’ont pour seule fonction que de nourrir sa passion pour le voyage. L’écriture était une lubie adolescente qui lui est revenue sur le tard, grâce à une rencontre au bord de la mer d’Iroise. À l’heure actuelle, et en dehors de ce passe-temps dévorant, elle exerce le sage métier de nutritionniste et l’occupation tout à fait accessoire d’élever trois enfants.

Mélody Gervais, auteur de Pour quelques patates de plus

Née à Lyon, Mélody a longtemps cherché où poser ses valises. Après un passage par le Canada et le Royaume-Uni, suivi d’un long périple en Asie, elle est finalement revenue s’établir dans la capitale des Gaules. Rassasiée de ses voyages, elle explore dorénavant les terres de l’imaginaire et puise dans les souvenirs de la vie sur la route, de paysages lointains et de coutumes étranges pour nourrir ses récits.
Ses expériences littéraires ont commencé au collège, par l’attente impatiente des sujets de rédaction et un siège assidu du C.D.I., puis par les ateliers d’écriture un peu fous de la bibliothèque municipale. Depuis, elle écrit des nouvelles d’aventure et de SF teintées de pulp. Pour quelques patates de plus est sa seconde publication après Le brasier des anges, une enquête façon polar parue dans l’anthologie Pièce de puzzles, aux éditions HPF. Deux autres nouvelles sont à paraître dans des anthologies chez Rivière blanche : Chamagudao (Dimension Sur la route) et La mécanique des étoiles (Dimension New-York 2). Elle s’attaque désormais à des projets de romans dans la veine uchronie et post-apocalyptique.

La rédaction d’AOC.

A propos de Olive

Pilier du Club, Olivier fait partie des anciens et continue à faire vivre AOC, le recueil de nouvelles trimestriel, dont il est le maquettiste et rédacteur en chef. A l'occasion, Olivier publie aussi des nouvelles, participe aux salons, à d'autres revues, rédige des articles dans PdE, gère le site Internet, etc. Dans le milieu, on le surnomme le Shiva de l'imaginaire !

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